La 39e édition du Salon du design vintage et contemporain s’ouvre ce mercredi 21 novembre à l’espace Champerret, à Paris. Zoom sur les principaux points à connaître de la design Fair Paris..
Jusqu’à dimanche, le Design Fair Paris by Les Puces du Design, nouveau nom « officiel » de l’évènement, va une nouvelle fois faire montre de son ambition de défendre le design original et le savoir-faire des designers à travers ses sélections pointues d’objets rares et iconiques.
Les Puces du Design ont en effet été le premier rendez-vous français et européen, dès 1999, à se consacrer exclusivement au design des années 1950 à 2000. Puis à prendre une dimension internationale de plus en plus importante depuis 2016.
Le Salon se divise en trois « villages ». Le premier est consacré, évidemment, au design vintage, avec sa sélection de pièces incontournables des années 1950 à 2000 où l’on trouvera les grands noms de l’histoire du design, de Prouvé à Jacobsen en passant par Sottsass. « Mais aussi des trésors exclusifs encore jamais vus en France », promettent les organisateurs.
Le village du design contemporain, lui, vient « ouvrir le spectre des possibles ». Mis en place en novembre 2016, il propose des marques de design internationales comme de petites maisons d’édition qui présentent leurs dernières collections. Il devrait, une nouvelle fois, y en avoir pour tous les goûts !
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Le village de la mode vintage, enfin, est amené « à refléter le parcours et la sensibilité d’antiquaires de la mode attentifs aux tendances mais surtout passionnés par les détails de fabrication et savoir-faire d’un autre temps ». Vêtements, sacs, montres ou objets divers y seront à chiner sans modération…
Expo et rencontres
Côté animations, cette 39e édition du Salon fera la part belle à l’aventure « Prisunic ». L’exposition
« La Grande Aventure Prisunic » rendra hommage à l’enseigne qui, à partir de la fin des années 1960, « a totalement révolutionné la manière d’envisager le commerce populaire », selon les organisateurs. « Jamais une enseigne n’avait affiché cette exigence esthétique et n’avait reçu autant de résonances dans toutes les couches de la société française », ajoutent-ils.
A découvrir, donc, plus de cent affiches, des posters thermoformés, tous les catalogues de mobilier et une sélection de meubles en souvenir de Prisunic, cette marque qui proposait « le beau au prix du laid ».
A retrouver également cette année, la rue des Designers-Makers, où les jeunes neo-artisans seront en vedette. Ceux-là même, affirment les organisateurs du salon, qui « dessinent une tendance forte du design actuel où le créateur intervient à tous les niveaux, du dessin jusqu’à la commercialisation ».
Dernière découverte (avant votre visite), le parcours de pièces remarquables, sélectionnées sur les différents stands et mises en avant par une signalétique spécifique. De quoi, à en croire l’organisation, « souligner le travail de recherche et de découvertes réalisé par les exposants ».
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